Le miroir, d’apparence lisse et immuable, était en vérité une surface significative, infiniment réactive aux micro-impulsions électriques circulant dans le système nerveux de la personne. Lorsqu’un personne se plaçait censées lui, le dispositif captait les signaux subconscients avant même que le moindre mot ou fait ne soit d'article. L
Au cœur de la taïga sibérienne, là où les températures figent le silence et où les arbres murmurent dans la banquise, une vieillotte chamane vivait à l’écart de tout. Elle n’utilisait ni cartes ni boules de cristal, ni écrans ni voix pour prédire. Son art reposait sur une résine d’origine inconnue, qu’elle extrayait d’arbres b
Ce qu'il vécut cette nuit-là défia toutes ses exigences. Au début, il sentit une impression de flottement, comme par exemple si son être devenait en plus léger que l'air. Puis, une vie approfondi envahit son corps, et une démarche s'imposa à lui : un milieu anonyme, où des bâtiments immensurables semblaient tâter le ciel, où des apparei
alphonse delacroix sentait que tout pas qu'il faisait le rapprochait d'une nouvelle. Après le début de Victor, son corps était en ébullition. Les mots de son collègue résonnaient encore dans sa minois : une anecdote contemporain incompréhensible ou un vestige d’une pressentiment antique. Ces deux hypothèses l’enivraient tant qu’elles
alphonse décida de agglomérer ses recherches sur le emblème de la contagion de renseignements de partout dans le expériences. Il se plongea dans des théories sur les ondes, les modulations et les champs d'espoir, convaincu que ces phénomènes auraient la possibilité de proposer une cause à ce qu'il avait vécu. Ses nuits étaient peuplées